Le président de la République, Monsieur Emmanuel Macron a reçu une large et diverse représentation des acteurs ultramarins de l’agriculture et de la pêche et entreprises transformatrices et cadres des institutions publiques en charge des dossiers de la France d’Outre-mer.
J’ai eu l’honneur d’être invité et d’avoir pu me présenter rapidement au président de la République. Lors de la soirée, j’ai surtout pu décrire la situation de la filière des vanilles françaises produites en Polynésie française (10 à 15T par an), à La Réunion (3 à 5T), Guadeloupe (1T), Mayotte (0,5T), Nouvelle-Calédonie (0,5 à 1T) et Guyane (50kg) ; notre structuration en cours et nos perspectives de développement et de créations d’emplois et de richesse aux ministres présents : le ministre de l’agriculture, Monsieur Marc Fresneau, le ministre de l’intérieur et des Outre-mer, Monsieur Gérald Darmanin ainsi qu’aux directeurs des services institutionnels.
Notre filière est certes petite en nombre d’emplois, autour de 1500 à 2000 personnes mais nos perspectives de développement sont là, et avec les aides appropriées nous pourrions doubler, voire tripler le nombre d’emploi tout en conservant la qualité de nos vanilles en moins d’une décennie. Pour info, Nous produisions 200T en Polynésie française et 100T dans les autres territoires d’Outre-mer dans les années 1960 !
Prochain rendez-vous : Mardi 28 février au Concours Général Agricole où je serai dans le jury de la « vanilla tahitensis ». Une nouvelle moisson de médailles pour cette vanille d’exception qu’est la vanille de Tahiti.